Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Serge Balasky spamme sur le SDH

Je rentre de la beuverie Boborepaire sponsorisée par Martini / croûtes au mur à chier (vraiment à "iéch" avec tout le respect que je dois à Malevitch, Manzoni et Bobig réunis / pôvres "artistes" à la ramasse / me suis tapé 6 ou 8 martinis (chai plus trop) rosé-pomme (coke-tail qui fracasse) / retrouvé Jean-Yes, David B., Vincent et Jaime Diaz-Puentes, bref des Syndicalistes purs et durs (y'avait aussi l'artiste Santiago Reyes) / j'ai shooté comme j'ai pu les INdies-gènes / Eric Dalbin m'a remis - in extremis - un carton d'invitation pour le prix littéraire RDRG - Ardisson Mafia -au Cabaret, place Royale (là où les Rollers Kids niquent le bitume) / Inside : Frédéric Beigbeder (il enlève ses lunettes suivant la caméra), Basile de Coke, Frigide Barjot, Arnaud Viviant ("grandeur et délinquance d'un Rockuptible"...), Edouard Nabe (orgueilleux et chiant) Joana de La Johnson (crevarde 5000 en train de lécher les assiettes) et un paquet de bonasses, pétasses à gogo / le prix littéraire de ce petit comité ? c'est "O.N.G" par Chaipaki des éditions POL. Bon, j'ai fait rentrer 4 syndicalistes avec un seul carton./ Touché les couilles d'un intermittent de Paris Dernière pour me faire casser la gueule - je défendais Faltot - ça n'a pas marché : ni sa défense, ni l'atouchement un temps-festif de ses testicules. Sur le carton : "Tenue incorrecte exigée". Tout le monde était clean comme mon banquier"