Je souhaite ardemment que l'on aligne les "Enfoirés" le long de la façade de l'Olympia vivendesque, et qu'on les fusille. Leurs cris d'agonie feront un trés bon album, doté d'avantages commerciaux imparables : à la fois collectif et posthume.
Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.