Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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5/21/2002

suite :

" C'est gratuit ou sur invit, le texte figure sur un A4 pliable que m'a ramené
E., donc présentation de Trois films arty de Philippe Terrier-Hermann, et
puisque tu n'as pas entre les mains la plaquette, encore quelques lignes de
l'inénarable Jean-Max (sic): "Un film intégralement sous-titré en anglais,
dress code international oblige. Encore pouvait-on déceler dans ce loft
story de luxe un supplément de sens: l'enfermement scénarisé d'une élite de
classe, le cri final d'un homme à l'étage supérieur, l'histoire d'une haute
société prisonnière de son décor, prononçant avec détachement, comme si elle
ne se comprenait plus elle-même, des citations de films consacrés à la
bourgeoisie des années 70... Mais le ;soupçon de haute bourgeoisie qui pèse
sur le travail de PTH ne tient pas seulement à ses seuls aspects
biographiques, il trouve aussi ses causes dans des motifs plus essentiels.
Par le choix volontaire de l'artiste d'aller du côté des nantis plutôt que
photographier la misère du monde, et surtout par la très faible
différentiation entre ces images et celles qu'on trouve dans la publicité,
l'entreprise ne cesse d'être douteuse, mais un doute qui fait arrêt sur
images, doute contaminant, propagateur, révélateur, peut-être d'une
entreprise généralisée de mystification médiatique
Philippe Terrier parasite ou espion?

.... "

moi je dirais branleur.