Asphalteplage. Deux enceintes pourraves qui crachotent des morceaux mal calés au-dessus des voies sur berge, où l'on pourrait chercher longtemps le moindre grain de sable. Un flot continu de touristes à sac-banane et accent hollandais défile en plein milieu. Des hypeurs en descente qui se demandent ce qu'ils foutent là. Les autres aussi.
S'appeler Technopol, prétendre fédérer la scène électronique et être un interlocuteur crédible avec les autorités... pour organiser une merguez-party - sans merguez - sur le bitume, ça laisse songeur...
Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.