Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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L'albino-jap démontre une seule et unique chose : la hype étant constituée de clones, il actualise le fait et se clone lui-même.

Bientôt dans tous les défilés, à tous les vernissages, à toutes les avant-premières et dans toutes les soirées branchouilles, EN MÊME TEMPS, les hypeux seront présents (la bande de Parissi a déjà entamé le processus de clonage, par division cellulaire).

Le hypeux est, culturellement et maintenant biologiquement, le stade ultime de l'évolution de l'homme post-moderne du XXe siècle. Le clone. Celui qui se reproduit sans sexe (comme dans la partouze du même nom). Celui qui dissoud la culture dans la pose, celui qui confond politique et mode, idée et concept, tolérance et nihilisme.

Celui aussi qui ne dispose à terme d'aucun système immunitaire, et qui périra terrassé par une grippe.