Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Sebastien Broquet casse le Syndicat du hype :
"Eh, ça devient n'importe quoi ce syndicat du hype !
c'est de la pollution là, on reçoit des trucs pour des concerts payants
(infamie !!!!) et à montréal en plus ! et y'en a ils prennent ça pour un
club de rencontre qui fait du social-cul ou quoi ? merdouille et
carambouille, moi je croyais que c'était un collectif d'inspiration
situ-dada-lettriste marqué par l'oeuvre vivante de Jean-Michel Mansion,
prêt à pirater tous les cocktails mondains et à faire partager les bons
plans de teufs discrètes... En gros, on est passés direct d'un concept à
la Isidore Isou pour aboutir à une récup' de Debord façon Inrocks. zut
alors. "