Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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1/31/2003

Dans le concept c'était OK : remplir des places toutes cleanos de branleurs blindés de mousse bon marché et de musiques électronik décade. NOW c'est tout "pourried" les soirées Starfucker. Hier soir, un agent triple du SDH nous spamme sur la Cantine : " Le BO$$ arrête les disques que passe le DJ (il est parti tout NRV du coup), la bière est à 10 (dix) euros (rien que d'y penser la tête me tourne). C'est rempli de trous2balles plein aux as. Pouah ! " On l'avait déjà spammer il y a quelques semaines, les soirées Starfucker sont à "casser ulttime " (zapper/ hardcore inner) : consos hors de prix (plus chères qu'en club), selectors souvent "prétentieux et chiants "(le style à passer des "perles introuvables" dont tout le monde se fout...), public de têtes-à-claques (génération Winter, version branleurs-friqués), des flyers rédigés dans un franglais qui ferait même sourire Jean-No... trop c'est trop. Que tous les medias dignes de cette appellation incontrolée, balance le vomi du SDH.

Texte copyleft 2002 AB, Lady Palace, Jean-Yes et Serge Balasky