Guillaume Fédou spamme sur le SDH
"Mes chers compatriotes,
Tout d'abord je dois vous dire que faire un reply à un mail du SDH risque de
me coûter cher, étant donné que répondre à un "junk mail" ouvre en quelque
sorte une boîte de Pandore dont mon compte Hotmail aura du mal à se remettre
- pour ne citer que Gad Elmaleh dans la Vérité n°2 (sic), "c'est la porte
ouverte à toutes les fenêtres" : mais bon c'est fait n'en parlons plus. Mais
si je prends ce risque c'est que, voyez vous, il vous manquait à tous un bon
Carmouze pour recentrer le débat. Bon alors évidemment, certains d'entre
vous opérent une confusion : entre le chanteur maudit Jean-Louis Costes,
poursuivi par la Lycra, auteur de chansons telles que "T'as un rat dans la
chatte", donnant régulièrement, contre vents et marées, de salés "opéras
porno-sociaux" dans les coins les plus reculés de la capitale et de sa
périphérie, et ce sans compter son succès d'estime au Japon - où Costes
chante en japonais -, l'homme qui fait sa promo à la main, souvent mêlé à la
foule des coupe-vents du street-marketing à l'entrée des concerts; et
Costes, l'empire, le restaurant du Georges à Beaubourg, les compilations
lounge toutes disque d'or, l'hôtel rue Saint-Honoré où Arno Klarsfeld (là
aussi, ne pas confondre avec Arno tout court) fait sa gymnastique, il n'y a,
pardonnez mon french, pas photo. A ce propos, puisque des gens de la presse
semblent mêlés à ce web-band, pourquoi ne pas organiser une rencontre entre
le magnat de l'underground et celui de l'over- ? Et puisque, si vous êtes
branchés, vous savez sans doute que les agents d'Arnold Schwarzenegger ont
menacé le label Gigolo qui voulait utiliser l'image du culturiste
autrichien, dont le visage a du être changé pour celui de Sid Vicious,
peut-on venger l'underground en donnant l'occasion à JLC de se faire un max
de thunes avec la preuve qu'il était là avant - au moins dans les rayons des
meilleurs disquaires ... En voilà un combat digne d'un grand syndicat du
XXIème siècle, non, vous trouvez pas ?
GF "
Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.