Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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"Stupeflip", "Nicolas Rey", les mêmes merdes sur lesquelles se branle la hype, qui prétendra pourtant qu'elle a des "goûts" musicaux ou littéraires. Mais non ; Stupeflip est une caution imbécile, le nawak érigé en pose, un jeu de dupes dont on se fout du vainqueur, du moment qu'on joue. Nicolas Rey, petite gueule mielleuse et petite prose plate, chiante, bêtement chiante - mais le voilà qui truste les quelques espaces médiatiques abandonnés à la "littérature" ("babil" sonnerait plus juste), et qui chronique ses clones. Le journaliste-chroniqueur-écrivain est parvenu à maîtriser l'ensemble de la filière : il produit (il défèque, pour ainsi dire), il se commente et il se vend. Encore un jeu en bout de parcours : la bonne paye.

Ces produits, d'une nullité à chier des haches, constituent en même temps le départ et l'arrivée d'un circuit fermé. L'auto-commentaire. La scatologie en boucle. Tout organisme clos sur lui-même moisit immanquablement. L'odeur est révélatrice.

STOP PLAYING WITH YOUR VOMIT.