Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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From:  "Jean Yes"
Date:  Sat Nov 8, 2003  3:13 pm

"Gülcher c'est d'abord le choc d'une rencontre : Laurence Rémila se donne à son public avec une énergie rare, presque sacrificielle." (Les Inrocks)

"Le charisme sulfureux et la voix envoûtante de Laurence Rémila ne sont pas sans nous rappeler un certain Jim Morrison. On se surprend à en frémir d'émotion." (Libération)

"On savait déjà que le rock n'était pas mort. Mais Laurence Rémila nous offre bien plus qu'un nouveau "retour du rock" ; il transfigure le phénomène avec un talent inouï, comme seul Bowie semblait savoir le faire. Tout simplement kiffant." (Technikart) 

"Refusant tout facilité, et sans jamais tomber dans l’emphase outrancière, Laurence Rémila insuffle à son œuvre l’exaltation des chef d’œuvres en devenir. Un son à la fois spontané et épuré, des mélodies imparables, une voix troublante : autant de subtils ingrédients qui font de Gülcher un groupe précieux." (Chronicart)

"Nova aime Gülcher. Actuellement en prix vert à la FNAC." (Nova) 

"Gülcher nous rappelle étrangement les Stooges,  Joy Division, Marc-Edouard Nabe, Michel Polnareff, Taxi Girl, Bukowski, Etienne Daho, Gainsbourg, Bret Easton Ellis, Chantal Goya, Jean-Luc Godard, Maurice Dantec, Louis de Funès, et bien d’autres encore." (Revue Cancer)