Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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"Il y a cent cinquante ans, Marx affirmait la nécessaire sortie du capitalisme par le moyen de la lutte de classes. Cent vingt ans plus tard, l'Internationale situationiste élargit la définition du prolétariat et met en cause la société capitaliste en tant que société de travail. Aujourd'hui, le Manifeste contre le travail du groupe Krisis reprend la critique là où les situationnistes l'avait arrêtée. Pour Krisis, le capital et le travail ne s'opposent pas : le travail est une activité spécifique au capitalisme, il est au coeur d'un système qui s'auto-reproduit sans fin et fait des hommes la "ressource humaine" de son auto-reproduction infinie. Il ne s'agit donc pas de libérer le travail (toute la gauche, y ompris Attac, réclame que la création d'emplois cesse d'être entavée par la spéculation), mais de se libérer du travail."


Editions Léo Scheer

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