Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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addikt ?



Hungry darkness of living : plus que trois et me dodécacibler, Allen à nouveau déconné sur 128 Kbps et les petits culs sans age de l'acropole très peu pour moi, à nouveau le regard lové, désuet comme celui suspendu au diaph' du Voigtlander qui ne verra jamais le Salvador du fond de sa cage baptiste. Lui même sous couvert de Steady sans rock pour la singerie afro, mais toujours et déjà destroy.