Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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La Balask' spamme sur le SDH :

Vincent Delerme est vraiment trop chiant avec ses références de bobo-gendre
idéal qui n'a pas eu la (mal)chance de se choper une dépression
carabinée sous Prozac en banlieue 78 - je l'ai toujours dit :"trop de
réussite familliale ternit le talent" (voir la famille Grumb) - je vous
conseille d'aller admirer le jeu de paupières du chanteur Wilfried à Mains
d'Oeuvres ... Quand ? ben friday, juste après le coup de bourre Valentin du
13. Alors moi et ma sale gueule de con qui n'aurait pas ouvert une boutique
de merde au Palais, j'irais payer mes 8 euros à la mauvaise santé du futur
flop des concerts trop hype à Olympia, la nouvelle MJC des jeunes pubeux qui
n'en veulent - "Dis Serge pourquoi tant de haine ? - pour écouter
Wilfried. Bon pour la bitch (féminin de pitch) c'est parti ! : "Le jeune
Wilfried écrit et enregistre des chansons depuis le début des années 90, il
a sorti quelques singles et est apparu sur des compilations "que" même les
bimbos towers ne vendent pas (faut voir quand même) ave leurs petits seins
underground tout maigrichons. Il s'est donc - Qui ? ben Wilfried !! -
jusqu'ici tapi dans l'ombre de la scène parisienne pour des sombres
histoires d'antifolk dans le magazine le plus intello-cyber de France, vous
savez le mag qui surf ces temps-çi sur un énoooorme buzz de censure trop
hipe avec l'ami Léo qui ne doit pas être si con que çà (faut voir
aussi...), c'est donc pour aboutir à l'enregistrement d'un album complet et
varié, que l'on pourrait rapprocher de l'oeuvre hypothétique d'un chanteur
comme... non mais ça va pas la tête ? vous voulez que je vomisse le travail ?
Bande de crevures. "