Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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3/12/2003

Maxime Berrée nous spamme :

" Apprendre à lire, apprendre à écrire, et même, pourquoi pas, apprendre à
penser.

Autant réclamer l'impossible à ceux dont l'objectif de vie, dont toute
l'activité tend à "casser de la hype".

Pour ce qui est de l'itw Dantec dans Epok, elle n'a rien à voir avec une
prétendue ARNAC, je suis bien placé pour le savoir, puisque je l'ai moi-même
proposée à la rédaction et réalisée en me déplaçant à Montréal.
D'autre part, le silence autour du livre n'est que relatif, puisque 4 pages
lui sont consacrées dans le magazine Livres Hebdo, que vous n'avez sans
doute pas le temps de compulser, entre Technikart et le whisky du matin. Et
Dantec arrive dans quelques jours à Paris, il m'étonnerait qu'il ait le
temps de venir vous serrer la main dans l'une quelconque des soirées que
vous squattez.

Ensuite, le livre proprement dit ne nécessite pas de mode d'emploi (pas plus
que celui de Danielewski), il est une expérience singulière de lecture.
Encore faut-il être capable de lire autre chose que Nicolas Rey ou Florian
Zeller, même s'il faut bien leur reconnaître une qualité, à ces deux gusses
: celle de savoir réveiller la nostalgie du lecteur pour les merveilleuses
histoires d'Enid Blyton.

Un non-casseur de ce qui n'existe pas."