Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Nalie spamme sur le blog de Bobig :

"Cela que Théolier rapine, il le fait rentrer dans un champ qui n'est plus celui duquel il l'a extrait. De la même façon que le monde de la pub, de la communication - dont th s'est réclamé à maintes reprises - fait ses emprunts au monde artistique, en s'abstenant bien évidemment de refaire le cheminement qui fut celui de l'artiste. il n'y a pas de pensée chez TH, bien au contraire, lui s'occupe de la promotion de la dé-pense. dans la logique capitaliste, il récupère à son compte et à son profit la plus-value produite par le travail d'autrui. dans la logique médiatique, il offre la vitrine de cette crapulerie. c'est du travail de maître - de petit exploitant capitaliste ; généreux seulement des quelques miettes qu'ils jette aux esclaves qui orbitent autour de lui, tandis qu'il cherche à maintenir dans l'ombre ceux-là qu'il a spoliés - se délectant de la jouissance qu'il trouve à les narguer. le désaveu où il est de ses pairs le place dans une situation et dans un champ qui ne mériterait que l'indifférence. indifférence que son arrogance et son mépris rendent parfois difficile. mais cela vaut-il la peine de se voir reconnu par lui, dont la tâche seulement consiste à avilir le travail d'autrui ? son agressivité même, propre à l'érection de la virtualité machiste qu'il érige en personnage - et signe d'une culpabilté qu'il ne sait comment taire -, ne lui sert qu'à camoufler son impuissance à se dépêtrer de la tyrannie (fasciste) du sens établi dont il travaille avec acharnement à renforcer l'univocité. son errance se limite à la pornographie et au clonage, lui qui ne saurait placer le commerce des hommes qu'au niveau du commerce des corps. non pas des corps se prenant aux risques ludiques du commerce amoureux, mais à celui qui réduit l'objet à sa triste et lisse valeur d'usage - usage qui se limite à la branlette dont il s'est fait le héraut. "