Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Sport Billy prend les gens pour des cons.

On lit des messages de protestation, le clubber s'indigne de ce qu'on se moque de lui... Ben oui, effectivement, le Studio 287 entasse ces cons de clubbers comme des porcs en batterie, et Carl de Tagada se fait une éternelle promo personnelle médiocre avec des soirées bancales à guest lists foireuses. Après la musique d'ascenseur, Carlito invente la "soirée au pied de l'ascenseur". Un concept, sûrement.

La première "guest list des rebombés". Qu'ils se rassurent : en restant à la porte, ils sont au moins certains de n'avoir financé aucun parti politique ou compte de campagne.

En attendant donc, les clubbers s'indignent... C'est comme s'ils critiquaient la pauvreté du contenu éditorial de "Sans Aucun Doute" ou la coupe de cheveux d'Evelyne Thomas.

Quand ils zapperont ce genre d'escro-gloutons, ceux-ci crèveront tout naturellement la gueule ouverte.