Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Ainsi, certains croient encore que se foutre de la gueule du petit milieu branchouillo-parisien est susceptible de constituer une "rebellion". C'est dire si le terme a été galvaudé. On se rebelle contre ce qui nous "asservit", pas contre ce qui nous apitoie. Je plains sincèrement ceux qui ressentent le besoin de se "rebeller" contre de tels moulins à vent.

Les quelques crétins qu'on dit "prescripteurs", les hypeux qu'on sait déjà suiveurs, sont des cibles idéales pour autant de vomissements en rafales. L'open-bar n'a jamais été et ne sera jamais un fin en soi ; il alimente la nausée, à tous points de vue. Désolé pour ceux qui voulaient trouver un porte-drapeau : on se sert de l'étendard pour se torcher la bouche. Pour les révoltes à deux balles, prière de s'adresser à Nova Mag ou à Manu Chao.

Il n'y a "paradoxe" que pour qui veut voir un dogme. Rebellion ? Pour finir en icône sur un T-shirt ? Et puis quoi encore...