"Il faut sortir, paraître à toutes les fêtes, rire d'un rien, tuer du regard, et tout ceci est bien réel. Une minute d'inattention et vous êtes mort" (Alain Pacadis). Il a dû manquer d'attention, c'est dommage. Les mondanités sont une mascarade artificielle, le constat est lui-même d'une banalité effarante.
Mais ça occupe. C'est toujours ça de volé à l'Ennui morbide et général.
Yves Adrien érige quant à lui Daft Punk et Michael Jackson en "messies cosmogoniques interplanétaires", autant dire qu'il y a de quoi se méfier. Il n'y a guère que B. Sabatier et Ardisson pour attacher de l'importance à ce que peut encore glavioter cette momie absconse, ce clone venteux d'Iggy Pop qui ne s'est jamais remis de l'avoir rencontré.
Pacadis est mort, ça lui évite de voir Nova et Technikart ressortir régulièrement son cadavre du sacro-saint Charnier des Dandies Déchus pour parler des potes du Pulp ou d'Eric Dahan.
Adrien n'a même pas cette excuse.

Mieux vaut laisser dormir les figures alternatives de cette époque en paix.