Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Nabe et Beigbdbdeber, les amuseurs publics. L'un, bovaryste énervé qui traîne une réputation "d'irrécupérable" (mais qui agite surtout sa petite provoc grotesque boostée par CNN), et l'autre, pubard de lui-même, qui joue les rationnels posés genre "on déconne mais y a des limites" quand il écrit sur le strike du 11 septembre. Des écrivains négatifs l'un de l'autre, des curetons pour les cons et les mal-comprenants, des caricatures idéales pour les masses lobotomisées par le rayonnement hebdomadaire de leur tube cathodique.

Un paragraphe de Nabe a l'impact d'un slogan de Beigbbgegder. C'est dire si les forces en présence évoquent plus un match de catch WWF catégorie poids-plume, que le baroud d'intellectuels. Que ces deux dandys bavouillants aillent s'enfiler des coupes chez Castel et enterrent la hache en plastique Hasbro qu'ils font semblant de brandir.


(petites icônes pour petites passes d'armes)