Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Comme de bien entendu ma participation à l’atelier de propreté
intellectuelle tient en un morceau téléchargé via un logiciel de
peer2peer. Je n’en suis donc pas l’auteur, disons simplement qu’il a
été composé « quelque part à Detroit » dans le vortex des années 90,
loin, très loin des effluves putrides de la hype parisienne. Il va sans
dire que j’en possède aussi l’original – je ne voudrais en aucun cas
violer les sacro-saintes lois édictées par les marchands du temple
capitaliste. Il va sans dire également que notre cher ami Ariel Wizman
n’aura jamais le privilège de poser sa voix sur cette douce mélodie,
et cela, aucun blanc-seing ministériel n’y changera rien.
Keep the crossover/