Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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"No one is innocent", et certainement ni Arrivist-man et sa soupe
easylistening, ni Devedjian et ses faux-discours sur le P2P. Il ne s'agit que de "Nomenklatura"


"Comme au Premier Jour
nous sortirons nus
priés par la Cour
de dormir dans la rue.
Si vous pensez que les hackers ne sont qu'une bande d'anarchistes prêts à tout mettre
à feu et à sang parce que ça les amuse, vous vous trompez du tout au tout. Nous sommes
bien pires que que ça (King Fisher).
Cerveaux en déglingue
extase et douleur
la science en nos mains
du Mal est la fleur.
NOMENKLATURA
Nous ne vivrons pas d'utopie collective nous arrivons trop tard, le grand marché est
déjà là. Nous devons elaborer des stratégies de survie et de contamination, par la création
et la prolifération d'utopies privées, cryptées, et qui se substitueront à l'ancien ordre social...
Tout ce que je sais c'est que nous vivons dans un monde dont on ne s'évade pas.
La vie à l'épreuve
biologie du crime
notre histoire est neuve
vous toucherez la prime.
NOMENKLATURA
Aujourd'hui les politiques n'ont plus que le pouvoir de nuire et de ralentir les mutations,
mais comme toutes espèces condamnées ils ignorent encore ce qui les attend, leur ordre
moral est voué à la disparition pure et simple.
Entrez dans la danse
sous l'oeil du Grand Frère
remplissez vos panses
ce sera la dernière.
NOMENKLATURA
Nous sommes bien pires que ça"




La musique et la distribution musicale sont ICI.
Que ça leur plaise ou non. On paiera pour la musique qu'on aime, pas pour les maisons
de disques qui continuent depuis 30 ans à vendre des CD douze titres à 150 balles.