Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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5/08/2003


L'électroclash, les collectifs artistico-modeux, les représentants en contestation, les artistes "subversivo-subventionnés", les micro-stars de microcosmes microbiens, les cyber-poseurs, les ambianceurs qui se fournissent à la Fnac, les originaux en batterie, les provocateurs à temps partiel, les "milieux festiv-onanistes", les priapiques mondains, tous, tous prolifèrent comme des blattes au pied d'une poubelle de cuisine. Mais si la tronçonneuse procure des satisfactions sensuelles et esthétiques évidentes, il devient temps d'en revenir au pragmatisme qui caractérise les entreprises les plus désintéressées.


Esthétique militaro-pratique. Vous en voulez, du concept ?

Amen.