Edouard Bear se (re)lance dans la télévision.
Et il arrive à faire encore plus poussif, plus navrant, plus mauvais, plus RATÉ que ses ex-coreligionnaires du Caca's club. (Beigbebdebder pratiquait le non-style et la vacuïté du propos sur Canal, où l'avait déjà précédé l'obséquieux dandy Wizman).
Un bon point : il est agréable de tomber par hasard sur ce genre de gadin télévisé. Au moins n'est-il pas totalement scénarisé. Baer a de la spontanéïté dans le rateau.
Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.