Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Exit la "hype" et les hypeux. Leurs références tombent en poussière, leurs maquillages coulent et leur babil inepte tourne en bruit de fond de moins en moins perceptible. L'insignifiance revendiquée, ce foireux prétexte à la médiocrité, ne dissimule pas la misèrable condition de "l'homme-médiatique", ni le statut de larve du "wannabe homme-médiatique". Buvez ces célébrités éphémères, l'arrière-goût n'aura même pas l'amertume des splendeurs déchues : il n'y en a aucun.

Incolore, inodore, impalpable. La "hype", nébuleuse sans sens, valse des étiquettes sans lendemain, baromètre des engouements convenus et des enthousiasmes mièvres, s'enivre de champagne mais elle a la consistance du verre d'eau.