Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.
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3/12/2003
Comme quoi, Mizio a fait "école" (si le terme se prête à ce genre de gargouillis). Pas de quoi sortir ne serait-ce qu'un sécateur en effet.
Par contre, j'enverrais bien voler une tronçonneuse dans la gueule des blaireaux de Jalouse, qui organisent une soirée dont le dresscode est - je cite - "néo-rétro-futuriste". Alors de deux choses l'une : soit on va encore assister à un défilé de tréteaux sapés comme des sacs handybag d'inspiration 80's, le jean rentré dans les bottes, le T-shirt "no future" débraillé, la ceinture métal qui pend sur l'absence-de-cul et la coupe de cheveux collée à la nuque, la raie sur le côté, un kilo huit de graisse à traire sur la gueule et le sac à main Gucci qui va avec... soit c'est l'indécision totale devant une telle indigence, et tout le monde ira en baskets-jogging (et pour une fois la hype ferait preuve d'originalité, mais franchement faudrait être sacrément philantrope, à un point inhumain, pour y croire).