Creuser le noir corporate et en faire sortir une lumière, une vérité blafarde sur tous ces suckers.


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Le vent tourne question hype et certains vont recevoir le vomi viral rive-gauche dans les amydalles. [sourcevraiment2merde]


De l'inéluctable viralité.
Après demain c'est la Rentrez! :
du taff pour les cassos...

Rentrée 2004 Hype City

Koozil fait des adeptes

"On les attend les hypeux et leur maladie2merde..."

La maladie Mangeuse de Chair

Enjeu
La maladie causée par la bactérie mangeuse de chair est une maladie
rare, mais lorsqu'elle survient, elle est très grave et peut causer
la mort. Il est important d'en connaître les symptômes et de savoir
comment en réduire les risques.

Contexte
La maladie, la fasciite nécrosante, est plus connue sous le nom
d'infection à bactérie mangeuse de chair, une infection qui se répand
rapidement dans les différentes couches de tissus qui recouvrent les
muscles (le fascia). Elle détruit les tissus et peut causer la mort
en 12 à 24 heures. On estime qu'il y a chaque année entre 90 et 200
cas de fasciite nécrosante au Canada, dont environ 20 à 30 sont
fatals.

Les symptômes de l'infection à bactérie mangeuse de chair comprennent
une forte fièvre et une enflure rouge et douloureuse qui s'étend
rapidement. La peau prend parfois une teinte violacée avant de se
nécroser. La destruction des tissus est parfois fort étendue. Il
arrive que l'enflure commence à l'emplacement d'une lésion mineure,
comme une petite coupure ou une ecchymose, mais dans d'autres cas, on
n'observe aucune source manifeste d'infection.

L'infection à bactérie mangeuse de chair peut être causée par
plusieurs bactéries différentes, dont des streptocoques du groupe A
qui sont très courants. De nombreuses personnes portent en effet ces
streptocoques dans leur gorge ou sur leur peau sans être malades.
C'est cette bactérie qui cause l'angine streptococcique et qui peut
également causer l'impétigo, la scarlatine et le rhumatisme
articulaire aigu. Dans de rares cas, les streptocoques du groupe A
causent des maladies graves, comme la pneumonie, la méningite, la
septicémie, le syndrome de choc toxique streptococcique et la maladie
mangeuse de chair.

Il est rare qu'une personne qui entre en contact avec un streptocoque
du groupe A contracte une maladie grave. La bactérie se propage
normalement lors de contacts personnels avec des personnes infectées,
par exemple, lorsqu'on embrasse quelqu'un ou lorsqu'on utilise les
mêmes ustensiles. Les personnes atteintes, comme celles qui souffrent
d'angine streptococcique ou d'une infection cutanée, sont les plus
susceptibles de propager la maladie. Celles qui portent la bactérie
sans présenter de symptômes sont beaucoup moins contagieuses.

Facteurs de risque
Les scientifiques ne savent pas exactement pourquoi les streptocoques
du groupe A ne causent qu'une infection mineure chez certains sujets,
alors que chez d'autres, elles constituent une grave menace. Ils ont
toutefois réussi à identifier certains facteurs de risque, dont les
suivants :

Un affaiblissement du système immunitaire causé par des facteurs
comme une maladie (infection au VIH, sida), les traitements contre le
cancer (radiothérapie, chimiothérapie) ou la prise de médicaments
anti-rejet suivant une transplantation d'organe ou de moelle osseuse.
Une maladie chronique, comme une maladie cardiaque, une maladie
respiratoire ou une maladie du foie.
Des contacts personnels récents avec une personne atteinte d'une
infection à bactérie mangeuse de chair causée par une bactérie du
groupe A.
La varicelle - Il faut toutefois souligner que, bien que l'infection
à bactérie mangeuse de chair soit une complication de la varicelle
chez les enfants, très peu d'enfants atteints de varicelle
développent l'infection.
Il faut garder à l'esprit que la maladie mangeuse de chair est très
rare. Le risque de la contracter est faible, même en présence de ces
facteurs de risque.

Traitement de la maladie mangeuse de chair
Vu l'évolution extrêmement rapide de la maladie, le traitement
consiste habituellement en une chirurgie visant à éliminer les tissus
infectés et en une antibiothérapie pour lutter contre l'infection. Il
n'existe aucun vaccin pour prévenir cette maladie.

Réduire les risques
Pour réduire les risques de contracter la maladie, on peut :

Consulter un médecin sans tarder dès l'apparition des symptômes de la
maladie mangeuse de chair.
Si vous avez eu des contacts personnels avec une personne atteinte
d'une infection à bactérie mangeuse de chair causée par un
streptocoque du groupe A, consulter son médecin. Il est prudent de
prendre des antibiotiques à titre préventif.
Traiter soigneusement les lésions mineures et les coupures. Laver la
zone blessée à l'eau chaude savonneuse et la garder propre et sèche
sous un bandage.

Rôle de Santé Canada
En collaboration avec les autorités de santé publique provinciales et
territoriales, Santé Canada exerce une surveillance des maladies
infectieuses. Sur demande, le ministère aide à examiner des grappes
de maladies infectieuses.

Les infections graves causées par des streptocoques du groupe A, dont
la maladie mangeuse de chair, font l'objet d'une surveillance
nationale depuis le mois de janvier 2000. De surcroît, Santé Canada,
en collaboration avec divers partenaires du milieu de la santé, dont
le National Streptococcus Centre d'Edmonton et d'autres autorités de
santé publique, met au point de nouvelles stratégies pour lutter
contre les maladies causées par ces streptocoques.

Pour en savoir plus?
Pour en savoir plus sur la maladie mangeuse de chair et les enfants,
consultez le site Web de la Société canadienne de pédiatrie :
http://www.soinsdenosenfants.cps.ca/maladies/InfectionsStrep.htm

Pour de plus amples renseignements sur les infections à streptocoque
du groupe A, visitez le site
http://www.cdc.gov/ncidod/dbmd/diseaseinfo/groupastreptococcal_g.htm
(site américain, en anglais seulement).

Pour de plus amples renseignements sur le National Streptococcus
Centre d'Edmonton, visitez le site
http://www2.provlab.ab.ca/bugs/vlab/ncs/NCS-GTS02-031.pdf (site
canadien, en anglais seulement).


Miss Kittin et Sven Väth enterrent la techno sur du Gainsbourg mutilé.
"La critique est entre les mains
d'une vingtaine de saligauds
qui ne louent que les copains
dans leur genre.
Je crois que le dimanche
ils cambriolent ensemble
des tôles dans la banlieue.
Rien n'unit les gens
comme le crime."

Fernand Fleuret, lettre à Ch. Th. Féret.

"J'ai écrit un peu. Hélas! Hélas!"
"Arrivé à ta stèle, tu n'auras plus que dalles"
soupira une dernière fois Stendhal

STENDHAL (1783-1842) - Souvenirs d'égotisme (1832)

"Je sens depuis un mois que j'y pense, une répugnance réelle à écrire uniquement pour parler de moi, du nombre de mes chemises, de mes accidents d'amour-propre. D'un autre côté, je me trouve loin de la France; j'ai lu tous les livres amusants qui ont pénétré en ce pays. Toute la disposition de mon coeur était d'écrire un livre d'imagination sur une intrigue d'amour arrivée à Dresde, en août 1813, dans une maison voisine de la mienne, mais les petits devoirs de ma place m'interrompent assez souvent, ou, pour mieux dire, je ne puis jamais en prenant mon papier être sûr de passer une heure sans être interrompu. Cette petite contrariété éteint net l'imagination chez moi. Quand je reprends ma fiction, je suis dégoûté de ce que je pensais. A quoi un homme sage répondra qu'il faut se vaincre soi-même. Je répliquerai: il est trop tard, j'ai quarante-neuf ans; après tant d'aventure, il est temps de songer à achever la vie le moins mal possible.
Ma principale objection n'était pas la vanité qu'il y a à écrire sa vie. Un livre sur un tel sujet est comme tous les autres; on l'oublie bien vite, s'il est ennuyeux. Je craignais de déflorer les moments heureux que j'ai rencontrés, en les décrivant, en les anatomisant. Or, c'est ce que je ne ferai point, je sauterai le bonheur.
Le génie poétique est mort, mais le génie du soupçon est venu au monde. Je suis profondément convaincu que le seul antidote qui puisse faire oublier au lecteurs les éternels Je que l'auteur va écrire, c'est une parfaite sincérité.>
Aurai-je le courage de raconter les choses humiliantes sans les sauver par des préfaces infinies? Je l'espère.
Malgré les malheurs de mon ambition, je ne crois point les hommes méchants; je ne me crois point persécuté par eux, je les regarde comme des machines poussées, en France, par la vanité et, ailleurs, par toutes les passions, la vanité y comprise.
Je ne me connais point moi-même et c'est ce qui quelquefois, la nuit quand j'y pense, me désole. Suis-je bon, méchant, spirituel, bête? Ai-je su tirer un bon parti des hasards au milieu desquels m'a jeté et la toute-puissance de Napoléon (que toujours j'adorai) en 1810, et la chute que nous fîmes dans la boue en 1814, et notre effort pour en sortir en 1830? Je crains que non, j'ai agi par humeur, au hasard."
Moix qui traite Houellebecq de con qui lui-même a écrit "Prévert est un con"
Une rentrée littéraire de cons! Certainement pas...
Sinon, les JO, ça finit quand? parce que j'ai envie de vomir à chaque médaille dor
P.A.R.I.S fucké mais Paris libéré! Un bal à Bastoche organisé par Jérome Savary!! Passe-moi le vomito...

Moix est une merde. Un petit écrivaillon vaguement branchouille, qui semble vouloir allier les outrances pro-terroristes complètement ineptes des Nabe et consorts, et les reflets vaguement libertins que toute une génération de minets à plume croit trouver dans les boites à touze ou le SM de bobo, par exemple. Même Wizman arrive à se foutre de sa gueule, c'est dire s'il est insignifiant.

Une synthèse : un sale con à QI d'anguille + une pétasse de salon littéraire.

Next.

Certains en viennent au vaudou et se ramassent
dans le Saint doux et universel bide.

Lancement du dernier Baise-Sollers.
Laissons-les se fragger entre eux.


"...Côté romans, on peut parier, sans trop de risques de se tromper, que le dernier livre de Yann Moix provoquera un débat et des échanges houleux. Déjà, son titre est on ne peut plus clair, Partouz (Grasset, à paraître le 31 août). Non seulement le roman est truffé de mots qu'il ne serait pas convenable de citer, décrit par le menu les ébats dans un club échangiste, mais à cela s'ajoutent des pensées sulfureuses teintées d'apologie du terrorisme. Concernant Mohammed Atta, l'un des kamikazes du 11 septembre («un événement sexuel», selon l'écrivain), Yann Moix écrit «Ce n'était pas seulement un héros, c'était plus que ça : un saint.» En passant, il égratigne un autre «pro» de la polémique : «Michel Houellebecq est un con.» Plus loin, toujours à propos de l'auteur de Plateforme : «Un assez médiocre, un relativement, un plutôt médiocre écrivain doublé d'un gros con.» Rendez-vous au tribunal ?... " source2merde

Doudou (à gauche) l'ex-tourneur de Nirvana (en France), à St Cloud
pour Rock sur Seine : autant organiser des Guinguettes Electro
en bas de chez moi !


eeeeee-e-e-aaaaaaaaa-a-a-a-a-
« Mon métier ? Cracher dans la soupe pour lui donner du goût. »
(Léon Bloy, de mémoire)

les éditeurs ne signent souvent plus (hors de toute considération littéraire) que des auteurs capables d’assurer eux-mêmes la vente de leurs livres, soit qu’ils possèdent déjà un public acquis (vedettes médiatiques par exemple), soit un carnet d’adresses conséquent. Ainsi voit-on une surreprésentation dans l’édition de mondains à la plume vide de tout sens mais au poudrier rempli de cocaïne qui produisent des livres qui fondamentalement n’intéressent personne, ne peuvent intéresser personne, et qui pourtant, bénéficiant de quelques articles de complaisance et de deux trois passages télés se vendront suffisamment pour que l’éditeur puisse payer son imprimeur et engranger un bénéfice, certes modeste, mais sans risque et sans effort quand imposer une œuvre plus intéressante (et qui au final pourrait toucher un plus large public, témoin les succès de Despentes ou de Houellebecq) aurait demandé une prise de risque et un investissement plus conséquents. Ne répondez rien, je sais, vous me trouvez terriblement naïf (et définitivement aigri) tant vous êtes persuadés au final que le succès d’une œuvre est une affaire de hasard, qu’il est indépendant de sa qualité, mieux, pire pardon, qu’il est nécessairement inversement proportionnel à sa qualité (c’est ça probablement le fameux « respect du public » dont vous vous gargarisez tant) : qu’il doit être terrible de penser cela et de se lever chaque matin pour aller au boulot !

L'IndispensablE, mai 2004.



Un auteur parmi les auteurs ci-dessus rassemblés, lors de j'ignore quelle grandiose manifestation intellectuelle, peut coller la gerbe encore plus que les autres.

Sauras-tu le retrouver ?


@ Frédéric Begbgdeider, médiatique non-éditeur de Vaquette ?

@ Michel H., touriste exotique ?

@ Virginie Descente, bloggeuse irascible ?

@ Philippe Sollers, lamproie verbeuse collée à ses contemporains ?




-----Message d'origine-----
De : stupp o [mailto:stupp.o@wanadoo.fr]
Envoyé : jeudi 19 août 2004 01:11
À : thth@noos.fr
Objet : Lu dans la presse...

MISE EN ABIME JOURNALISTIQUE

"Récemment, un confrère m'a demandé comment un journaliste comme moi,
qui était aussi connu et respecté il y a dix ans, pouvait se contenter
aujourd'hui de faire un fanzine.
C'est sans doute au lié au suicide de Kurt (Cobain... Everett True,
celui qui parle, est le journaliste qui a découvert NIRVANA -Note du
Stupp). Après, JE N'AI PLUS JAMAI FAIT CONFIANCE AU MAINSTREAM."

Aujourd'hui, Everett True, ancien journaliste star du MELODY MAKER a
tout arrêté. Il se contente d'écrire sur son blog.

A+
OS


Soit f une application linéaire,
élément de (U,F)
où U et F sont des espaces vectoriels
sur un même corps commutatif K.
On appelle valeur propre de f,
un nombre k de K pour lequel :
il existe un vecteur non nul
C de U tel que
f(C) = k.C
On dit alors que
C est un vecteur "propre
de f associé à k.
U C ?"



Yeps! la vraie rentrée littéraire, c'est moi! je
fais la Une de la N.R.F d'octobre, c'est comme ça
et j'emmerde la hype littéraire! (Nobody after JR)
"Naguère, on m’a reproché l’usage des stupéfiants. Je n’y cherchais rien d’autre qu’une libération de l’inconscient. Il advint qu’en même temps, j’y trouvais du plaisir. Et quel ! Deux raisons au lieu d’une de ne pas entendre mes censeurs. Je voulus, dans ce domaine, comme dans les autres, épuiser tous le cycle : éther, opium, haschich, morphine, cocaïne, héroïne me procurèrent tour à tour et parfois simultanément leurs mortelles délices. Cela dura plusieurs années. Réduit peu à peu à la plus complète solitude, je n’étais pas sans suivre à la trace les changements qu’opéraient en moi ces drogues dont les effets contradictoires s’annihilaient l’un par l’autre, m’obligeant à ne cesser pas d’y recourir, tout en devant en augmenter les doses. Rien de cela ne m’inquiétait : la mort ne m’effrayait nullement et, n’ayant jamais été ambitieux, la stérilité m’importait peu que j’étais bien forcé de constater. Quant à l’impuissance physique, en ce milieu d’eunuques et de tribades, elle ne me souciait pas. Ce qui me décida, malgré leurs attraits fabuleux à me séparer de ces poisons : qu’ils m’asservissent à leur noir empire. Entre tous, j’avais dès le début discerné la précellence de l’opium, aussi ne le supprimai-je point avec les autres. DE surcroît, je lui devais ou supposais lui devoir tant d’heures exquises, en compagnie d’amis non moins exquis, que divorcer ainsi eût frisé l’ingratitude. Cependant, après maintes tentatives, j’y parvins. Au bout de quelques mois, délivré absolument de ses miasmes, je compris combien je m’exagérais, en l’embellissant, son pouvoir, ou du moins il n’était pas tel que je le croyais. C’est ainsi qu’il paraît des qualités les plus rares d’aucuns dont flagrante était la médiocrité et desquels je pus me demander comment je les supportais et que je fus, par la suite, incapable de revoir. Ce « trompe-l’œil », si je puis m’exprimer de la sorte, dénonçait la vraie nature de la drogue : là résidait son esclavage bien plus que dans la contrainte qu’elle impose de prendre à heure fixe. Néanmoins, je ne regrettais pas d’avoir poussé cette porte ni scruté trop avant ces ténèbres : tout n’était pas perdu, loin de là. Les plaisirs nouveaux subsistaient et l’horizon entrevu, et les parfums étrangers que j’avais respirés. Au point qu’il m’arrive, certains soirs de déconfort, de me pencher sur ce trouble passé avec un immense désir de remettre mes pas dans mes pas…" (PDM)

"La hype est morte depuis ..."
Flu à la ramasse


begdbdgebdgdgebdbgegdbgdbggedgbgdedbgbdgebg

Aaaaaaaaaaa-a-a-a-eeeeeeeeeeeeeeee-e-e-e-e-e-eeeee

Le problème (si problème il y a), c'est que comme d'habitude, le venteux Beigbdbdger ne dit rien, ou trés peu.
Il est amusant de lire celui autour duquel gravite une remarquable ceinture de pseudo-astéroïdes "littéraires" (bon, disons des écrivains à mèche travaillée ou à petite culotte rouge), témoins fantômes d'un "cadavre" qui bouge de moins en moins, exprimer une sorte de lassitude maussade au sujet de la rentrée littéraire qu'il attend par ailleurs avec une excitation mal dissimulée.

Je serais surpris si Beigbdgdbeder ne faisait pas parler de lui durant les trois mois qui viennent, s'il n'ouvrait pas son dévidoir à banalités, s'il n'y allait pas lui aussi de son commentaire, bref s'il ne participait pas à la pantomime qu'il semble vouloir dénoncer dans son tout petit texte de rien.

Petit texte de rien qui commence avec l'une de ces anticipations qu'il affectionne, à grand renfort de name-dropping histoire de planter le décor dans lequel il évolue d'habitude avec la grâce d'un dindon. Curieusement d'ailleurs, il ne parle pas du dernier texte de Vaquette... Mais sa volonté d'englober les mille et unes hypocrisies qui jalonnent cet "évènement mondain" craque devant le plaisir qu'il prend à empiler les noms et les pronostics, feignant le flegme et singeant une désinvolture gonzo. Begbdgfdeer achève de ramener cette putain de rentrée littéraire à un grand prix de F1, entre départ au sprint au milieu de 800 bouquins et transferts médiatiques entre écuries. Un premier paragraphe pour jouer les bookmakers, un second pour essayer d'élever le débat (avec la grâce du dindon sus-cité puisqu'il croit bon d'évoquer un "pays occidental supposé décadent, au début d'un siècle de terreur et d'absurdité", oui oui, on sait qu'il sait, qu'il nous lâche avec sa conscience politique d'ex-pubard ex-chroniqueur ex-animateur, surtout si c'est seulement pour essayer de relativiser une rentrée littéraire qui va pourtant probablement le passionner au-delà du permis). L'auteur du "dernier inventaire avant liquidation" tenterait-il de prendre un peu de distance avec les mondanités parisiennes, les renvois d'ascenseurs et les logiques médiatico-marchandes ?

Alors trés bien : puique Beibvdgdver s'ennuie déjà, se lasse de la valse des prix, et déplore que des gens "prétendument adultes cherchent un prétexte pour parler des arbres, des chats noirs, des accidents de voiture...", on lui conseille donc de fermer sa gueule, si possible pendant les trois mois qui viennent, tant qu'à faire pendant les dix ans qui suivent, et de chouiner en silence sur la pauvreté et l'inanité d'une mascarade mondaine qu'il a fortement contribué à promouvoir. "Foire dégoutante, cirque pathétique", un comble venant du monsieur Loyal qui gesticule comme un crétin dans le poste depuis un petit moment déjà.

On lui propose même, pendant les trois mois de ce micro-bazar, d'imiter bon nombre d'entre nous : lire des livres, voire en écrire, et éteindre sa télé. Mais je doute que l'apparente légère lassitude dont il fait montre l'emmène jusque là.

Bref, on souhaite qu'en bonne logique ce petit article vide soit suivi d'un ferme et long silence.



Ah, dernière chose : Despentes, ses petites crises de nerfs et son opportuniste repositionnement blogo-foireux, on s'en bat les couilles à la raquette de plage. Same player shoote again, le web c'est pas aussi lisse qu'un plateau télé.

Netocrat at work
more over BARD
ouch!

" Email : sam@fisherprice.com
Posté le : 13-08-04 à 15:16
IP : 81.67.216.xxx
Titre : RE: GANG-BANG WITH A STAR : LE FEULLETON DE L'ETE

Je suppose que le texte de bedbgedbgeb est censé être "émouvant", ou quelque chose comme ça. Pour être sérieux un instant, disons simplement qu'il est nauséeux. Ce petit caca insignifiant synthétise en quelques lignes tout ce qu'il y a de plus navrant dans le personnage de begdbgedbe et dans sa basse-cour parisienne : éternelle autosatisfaction face à son mal-être d'adulescent régressif, générosité feinte et fausse autodérision, romantisme d'opérette, dandysme pseudo-décadent, anti-conformisme en carton-pâte, fascination débile pour les "coulisses" du star-system, esprit de connivence, esprit de clocher, petitesse d'esprit... Bref, un concentré de médiocrité franco-française dans toute sa splendeur, le genre de truc qui donne envie de devenir réac tellement ça fout la honte. Dites-vous une chose : pendant que begdbgedbgedb disserte laborieusement sur l'événement mondain le plus pathétique de l'année, Danielewski est sans doute en train de plancher sur son prochain projet. Comprenne qui pourrave."

pécho sur www.gangbangwithastar02.fr.fm (la suite des commentaires du blog de Despentes / la fonction "commentaire" ayant été supprimé)

HYPECITY (circuits imprimés)


PODE BAL


Chloé... chuis d'solé... mais... Beigbedeberder... parle
de toua
dans la Redoute du Papelar
Peu de chance que ça finisse sur un t-shirt de Madame Agnès ex-Bourgeois

(La Grande Faucheuse n'est pas vendeuse chez les Bobos)
"Elle est où la soirée ?"

Ok, c'est officiel, Alexis Nash recherche des "filles" pour aggrémenter ses carrés VIP...
voilà les fwd des "bons plans" de Nova sur SDH :

Message d'origine-----
De : Smael [mailto:smaelb@novaplanet.com]
Envoyé : mercredi 11 août 2004 14:11
À : syndicathype@yahoogroupes.fr
Objet : Fwd: Contact novaplanet.com

>>> Début du message réexpédié :

De:
Date: 3 août 2004 12:01:24 GMT+02:00
À:
Objet: Contact novaplanet.com

A l'attention du responsable des plans capitaux :

Je suis Marjorie GUEDJ, responsable projet pour l’agence CRISTAL EVENTS D’Alexis Nash, j’aurais aimé annoncer nos soirées sur votre site.
Ce sont des soirées récurrentes toutes les semaines du mois d’Août, voici leurs descriptifs :


- Soirée LIVING ROOM tous les samedis du mois d’Août au STUDIO :

• L’agence CRISTAL EVENTS vous invite à la soirée LIVING ROOM
• A partir de 23h00
• Tous les Samedis du mois D’Août
Open Bar Champagne pour les filles jusqu’à minuit
· Salon convivial où se retrouvent jolies filles et VIP pour faire la fête
· De nombreux cadeaux offerts pour les filles

• Music House & R’N’B
• Entrée GRATUITE sur présentation du PASS jusqu’à 1h00

Pour être invité sur la Guest List, appelez le 06 18 23 66 19
LE STUDIO, 128 rue de la Boétie 75 008 PARIS


- Soirée SUMMER GIRLS PARTY les vendredis 6, 13 et 20 Août au NIRVANA :

• L’agence CRISTAL EVENTS vous invite à la soirée SUMMER GIRLS PARTY
• A partir de 23h00
• Tout les vendredi du mois d’août
• Open Bar jusqu’à minuit
• Beautiful girls, sunlight & Dancefloor
• De nombreux cadeaux offerts pour les filles
• House & R’N’B hits
• Entrée GRATUITE sur présentation du Pass jusqu’à 1h00

Pour être invité sur la Guest List, appelez le 06 18 23 66 19
LE NIRVANA, 3 avenue Matignon 75 008 PARIS


Vous trouverez ci-joint les visuels permanents des 2 soirées.
Nous aimerions par ailleurs vous compter comme invités dans notre soirée

Cordialement

Marjorie Guedj

>>> fin du message réexpédié :


fô qu'ils fassent gaffe à Nova, à force, ils vont tomber pour proxénétisme...

en cadeau, le flyer : suggestif? comment ça?





Quand une casseuse2fiction spamme le Blackblog...

"Ah mes choupinoux, du fin fond d'une campagne 56katée, tomber sur la téniaterie ça soulage...

Chez Despentes y a bien que les deux premiers livres qui méritent le respect. Du Solanas sauce Pigalle, ça valait le détour. Et puis comme toujours, la durée de vie de l'éthique dans la République Bananière des Lettres avoisinant les quatre ans maximum, il a pas fallu longtemps pour que l'oxydation opère. Un passage chez Grasset, une des écuries les plus merdiques (rappelons qu'alors Beigbeidder ne sévissait pas encore chez Flammarion), 250 000 balles d'à -valoirs à la clef, un troisième roman remixant ses thèmes en plus commercial, une adaptation cinématographique (250 000 balles again et Stommy Bugsy en prime) qui fait passer Héroïnes pour un chef d'œuvre du septième art... Elle a pas trop tenu le cap la donzelle.

Après c'est même pas la peine. L'ère du marketing a sonnée. Remarquez, déjà à l'époque des premiers la mauvaise foi était galopante : des bas fonds parisiens, elle a pas connu grand-chose de plus que les reportages de TF1. Dans une interview pour 20 ans y a six ans, elle pipotait bien sa race, genre « j'ai été call girl à 50 000 balles la nuit ». Toutes les chonchonneuses de Paris s'en souviennent encore, des hurlements de rire jaune dans tous les bars à hà´tesses, question tarifs et réalité de recrutement des agences fallait vraiment qu'elle soit à la ramasse et en plein fantasme la pauvre fille.

Dans la série n'importe quoi pourvu que ça rapporte et que l'image croustille, on savait déjà a quoi s'en tenir. Le film Baise-moi, on se passera de commentaires par mansuétude. La publication du livre affligent de sa pathétique copine Coralie (la goth la plus décérébrée de France) grâce aux contacts de la Despentes, idem. La traduction de Plastic Jésus de Poppy Z. Brite au Diable Vauvert (maison qui en matière de littérature française a su découvrir de grands talents qui feront date, comme la dite Coralie, le formidable néo-réaliste Nicolas Rey ou dernièrement Louis Lanher, dont l'acuité et le style laissent pantois), c'était aussi un coup formidable quand on sait que Despentes maîtrise l'anglais niveau It is not because you are de Renaud.

Teen Spirit : vas-y que je te cible les trentenaires, les petits problèmes de l'époque, ça allait bien avec le Déjà pères et toujours branleurs de Teck, des tas de ventes assurées. Sur les plateaux, déguisée en post-versaillaise lunettée, elle n'a pas lésinée : ce qui est intéressant dans le fait d'être écrivain c'est qu'on a plein de thunes et la paix, le seul problème c'est de pondre le roman. Assagie mais tellement rock & roll, whaou.

Là , septembre approche, faut assurer le buzz parce que les ventes du bouquin précédent c'était pas trop la fête du slip. Pour les djeunz Despentes c'est devenu un peu personne, ou une vieille icà´ne de l'époque de la littérature trash, la meuf du type des enfants du rock mais si souviens-toi on avait six ans. Mais où sont passées les gazelles et les acheteurs de romans industriels option le quotidien des trentenaires est passionnant, se demandèrent de concert les élites grassettiennes et Mademoiselle Despentes il y a peu. Sur la blogosphère pardi. C'est ainsi qu'en 2004 Virginie Despentes découvrit les blogs. Une petite étude préalable lui permis de mettre une liste exhaustive des blogs de 20six les plus visités sur son site, histoire de s'assurer une rapide imposition sur le terrain, de flatter quelques ego comme autant de lecteurs potentiels. Et puis si Maia Mazaurette a vendu 5 000 bouquins sans que la presse l'ai vraiment soutenue mais grâce au bouche à oreille des bloggers et lecteurs de blogs, imagine un peu ce que ça donnera sur mon prochain roman avec Paris Match et Marie-Claire en plus coco, dit la Despentes à son éditeur favori. Sauf que bon. On sait depuis des années que la baudruche est dégonflée, et que le marketing ne fait pas tout. Faut pas prendre les bloggers pour des canards sauvages...

Conclusion : Mademoiselle Despentes est en phase de publiquement sucrer les fraises."


N°1F***U2
Après l’île Saint-Louis

Un jour, ma belle, nous irons au square du Vert Galant / ici s’éteint discrètement l’île de la Citée – fondu-enchaîné vers le crépuscule / 1314, le bûcher des Templiers… te souviens-tu ? / une fois encore nous y célébrerons l’immolation sacrilège, ô ma douce / blattes ou cloportes, ils seront tous là / jeunes insectes à l’allure négligée, joues creuses et regard vide, bavardages crétins et chaussettes vintage… / Un jour, ma belle, nous irons au square du Vert Galant / bière tiède, chipolatas frétillant sur les braises, eucharistie des pauvres d’esprit, communion des médiocres / kérosène, étincelle, just do it : burn Calvi, burn ! miracle de la pyrotechnie ! sacrifice fusionnel ! ultimes agonies ! petits cris stridents de pétasses brûlantes – combustion spontanée, dépouilles et merguez emmêlées ! joie ! comme c’est mignon… oh, you pretty things ! ces petits résidus carbonisés… sur leurs carcasses fumantes se lisent encore quelques logos, vestiges de quelque obscure concept-store… leurs sourires sont figés… je les aime.

vos dernières volontés? juste un doigt!
Ok, Ok! chuis "dos en ville" comme dirait la fouine, "back in town" comme dirait Jc Vandamme, "ass in town" comme aimerait dire DDLF (mais ya 3 mots, pas si smple), en bref:
Back in your Ass!
Rappelez-vous la dernière réplique de "Shining" : I'm just behind you!
par contre, c'est le désert ici, pas âme qui râle... et Cantat est toujours en vacances à Palavas les Vilnius...
bon allez... soyons désinvoltes...